Metal gear solid 5

Metal Gear Solid V: The Phantom Pain

Metal Gear Solid V : The Phantom Pain est un jeu d’action, sous le thème Espionnage qui permet de simuler des missions semblant à ceux des commandos d’élite. The Phantom Pain permet aux joueurs de se mettre à la place de Big boss, le héros du jeu, connu sous le nom de code « Venom Snake », pour sa mission en Afghanistan.

L’histoire du jeu relate la suite des versions précédentes. Dans la fin de ces dernières, Snake s’est fait amputé d’un bras et plongé dans un long coma de 9 années. L’introduction de The Phantom Pain s’en suit par son réveil dans un hôpital où il se remet délicatement de ses blessures puis se fait attaqué par un commando d’élite. Toutefois, il réussit à se sauver in extremis grâce au mystérieux Ishmael et une vieille connaissance, Revolver Ocelot. Pendant le jeu, on retrouve les deux mystérieuses Némésis, « l’homme en feu » et le « petit garçon au masque à gaz » que les fans ont tant attendus.

Gameplay de Metal Gear Solid V

La jouabilité de Metal Gear Solid V : The Phantom Pain diffère de ses prédécesseurs en plusieurs points. Les missions n’ont plus rien avoir aux aventures linéaires des MGS classique. Elles se rapprochent surtout du fonctionnement d’un jeu à monde ouvert. Le fait que le jeu opte pour cette fonction est une grande nouveauté pour la série.

La palette de mouvement de Snake est devenue moins rigide qu’auparavant. Le héros donne même une impression de souplesse agréable dans les séquences d’infiltrations et d’actions. On remarque aussi que les décors sont plus ouverts. Parfois, on est même invité à grimper pour se faire à un autre chemin moins conventionnel ou simplement scruter les environs.

En ce qui concerne les ennemis, il est parfois difficile d’anticiper leurs déplacements, car ces rondes sont devenues très variées et longues et elles sont parfois très nombreuses. Le système de marquage permettant d’assister au joueur dans cette fonction est à double tranchant. Ce dernier provoque souvent un certain relâchement alors qu’une sentinelle qui n’est pas encore dans l’angle de vue ou arrivant d’une autre base n’a pas encore été marquée.

Un grand avantage dans Metal Gear Solid V : The Phantom Pain est la fonction qui permet d’avoir une deuxième chance avec le déclenchement d’un Bullet Time pour aligner le malotru si jamais le joueur est repéré. Il y a également une assistance facilitant forcément le jeu, mais qui ne le rend pas fortuit pour autant, tant la difficulté augmente au fur et à mesure durant l’aventure.

On peut dire que la violence est omniprésente dans le jeu, et cela s’amplifie avec sa qualité graphique particulièrement élevée. Dès l’exécution du sommaire, on remarque déjà la présence des cadavres jonchant les couloirs, de l’hémoglobine à foison, des brulés vifs… Durant l’introduction, la souffrance inonde déjà l’écran avec l’évasion spectaculaire de Big Boss et plusieurs moments-chocs dans son avancée dans le bâtiment.

Les caractéristique du 5eme volet de Metalgear Solid 5

Les premiers moments avec Metal Gear Solid V : The Phantom Pain marquent surement le spectateur, mais il en est de moins pour le joueur. Une fois que l’on se met dans la peau de Snake sur un chemin de fer invisible, où l’on essaye désespérément de se lever sur ses deux pieds, on ne fait que suivre l’ange gardien en allant simplement vers l’avant. Ce qui veut dire qu’il suffit de pousser le stick en avant pour jouer même si l’on remarque que les concepteurs essayent d’étouffer ce moment avec plusieurs cinématiques, mais qui sont tout de même intégrés de manière fluide. En gros, on sent vraiment que l’on joue assez peu et que le guide ne sert que d’excuse pour forcer le joueur à suivre obligatoirement le joli chemin ensanglanté. Chaque joueur ne peut donc commencer réellement le jeu qu’après l’évasion.

D’un point de vue général, on remarque que le jeu est fluide, fin et propre. L’œil est rarement agressé par des imperfections. Toutefois, on observe occasionnellement des chutes de framerate lorsqu’il y a trop d’effet à l’écran, et également des manques de détails dans les grandes zones. Mais en gros, on peut dire que le gameplay de The Phantom Pain est le plus abouti de la série.

On peut dire qu’il se situe un peu au-dessus de Ground Zeroes qui affiche déjà de beaux effets de lumière, mais présentant un manque cruel de finesse une fois révélé au grand jour. Même si le point fort de The Phantom Pain n’est pas le coté détails esthétiques, il ne souffre en aucunement de grosse lacune comme ce dernier. Sa grande fluidité le rend difficile à prendre en défaut. Avec MGS 5, on passe très rarement sous le cap des 50 fps alors que la majorité des productions de la même classe sur console ont mis de côté cet objectif.

Toutefois, il y a quelques effets de points indésirables qui s’affichent en transparence sur la végétation et les cheveux de certains personnages, sans oublier les petits problèmes de clipping qui sont tout de même largement acceptables.

Malgré le fait que l’Afghanistan proposé dans le jeu est beaucoup plus étendu que la base de Ground Zeroes, la taille des cartes est toutefois un peu trop grande. De ce fait, penser à parcourir la carte d’un bout à l’autre en voiture, à cheval ou à pied est assez décourageant. Il est vrai que la zone afghane est réputée pour être très rocheuses, mais lorsqu’on regarde la carte on se rend compte que la disposition des roches forme de nombreux canyons, gorges et vallée qui ne donnent pas envie de s’y aventurer.

À part ces petits détails indésirables, on observe quand même de longs couloirs de plusieurs tailles reliant les avant-postes et les bases. Il est également possible de débloquer une zone africaine après une dizaine d’heures de jeu, offrant un grand sentiment de liberté.

Je suis sans aucun doute le plus gros des Geeks/Gamers de France, c'est pourquoi après des années de jeu, de lecture, de pratique et de grignotage de chips sur mon clavier d'ordinateur je me suis dit qu'il était grand temps de partager avec vous mon univers, ma passion et mes astuces gaming !

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